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Présent ce mercredi en conférence
de presse, Carlos Alcaraz a notamment été interrogé sur sa future
association avec Rafael Nadal sur la terre battue parisienne. « Un
rêve » pour lui.
Après avoir réussi un superbe doublé Roland-Garros – Wimbledon,
Carlos Alcaraz va désormais s’attaquer à un tout autre défi. En
effet, lors des Jeux Olympiques de Paris 2024, le jeune Espagnol
(21 ans) sera notamment associé à un certain Rafael Nadal du côté
de la Porte d’Auteuil. Avec le maître des lieux, vainqueur à 14
reprises sur la terre battue parisienne, « Carlitos » sera
forcément très attendu.
Surtout que ce dernier aura certainement très envie de décrocher
une première médaille olympique, et pourquoi pas d’offrir au «
Taureau de Manacor » (38 ans) un dernier gros titre. « Pour moi,
c’est un rêve (de jouer avec Nadal), a reconnu dans un premier
temps celui qui compte déjà trois titres en Grand Chelem. C’est
évident que le succès n’est pas garanti par un nom, le chemin est
difficile mais passionnant et j’espère en profiter un maximum.
J’espère que c’est un souvenir qui restera gravé dans ma mémoire.
»
Alcaraz : « Je peux probablement
tout apprendre de Rafa »
« Je peux probablement tout apprendre de Rafa. C’est un des plus
grands de l’histoire du tennis et du sport en général. Sa façon de
jouer en compétition, de se battre sur le court, de ne jamais se
laisser aller ou de lâcher un point. Sa capacité à résoudre les
problèmes est admirable et j’essaie de suivre son exemple, sur et
en dehors des courts. Son humilité, après tout ce qu’il a accompli,
force l’admiration », a par la suite expliqué Alcaraz ce mercredi,
dans des propos repris par L’Equipe.
« Quel sera le nom de notre double avec Alcaraz ? Ça dépendra du
résultat… (rires). Nous n’avons pas pu nous préparer ensemble mais
nous savons que Carlos vit une très bonne période et j’espère être
au niveau, celui dont j’ai besoin pour pouvoir fonctionner
individuellement et collectivement », a pour sa part déclaré Nadal,
en conférence de presse. Leurs adversaires sont prévenus, ils sont
venus à Paris pour marquer l’histoire.
