Carboni, les raisons de sa signature à l’OM
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La dernière recrue en date de
l’OM a justifié son choix de venir garnir les rangs du club
phocéen. La présence de l’un de ses compatriotes n’y est pas
étrangère.
Mercredi,
Valentin Carboni est devenu la sixième recrute estivale de
l’Olympique de Marseille, après les défenseurs Lilian
Brassier et Derek Cornelius, les milieux Ismaël Koné et
Pierre-Emile Hojbjerg, et l’ailier Mason Greenwood. Prêté par
l’Inter Milan, l’international argentin de 19 ans a été présenté à
la presse ce jeudi.
La présence de son compatriote Leo Balerdi dans l’effectif de
l’OM a contribué à son choix de rejoindre la cité phocéenne.
« Evidemment que sa présence m’a aidé à prendre la
décision de venir ici. Il m’a dit que les gens sont très
passionnés, qu’ils vivent le football comme en Argentine. Il m’a
également parlé du fait que l’OM est un très grand club, avec
beaucoup d’histoire, et je suis donc très heureux d’être ici. J’ai
évidemment hâte d’aller au stade, de jouer dedans. Déjà depuis
l’extérieur, il est incroyable. De ce que j’ai pu voir, il y a 60
000, 65 000 personnes chaque match, donc forcément ça doit être
extraordinaire », a imaginé le natif de Buenos Aires.
Carboni, le nouveau numéro 7 de l’OM
Valentin Carboni portera le numéro 7. « J’avais le
choix entre trois numéros, j’ai pris ce chiffre qui correspond à la
date de naissance de ma mère. C’est pour elle que je l’ai choisi,
elle compte beaucoup pour moi. Je lui dois tout. Je veux démarrer
cette nouvelle aventure avec de bonnes énergies, avec de la
positivité et toujours essayer de faire de mon mieux »,
poursuit le jeune joueur, dont le contrat comporte une option
d’achat de 36 millions d’euros, ainsi qu’une clause de rachat pour
l’Inter Milan à hauteur de 40 millions.
Milieu offensif gauche de 19 ans, ce bi-national italo-argentin
a fait ses débuts internationaux le 26 mars dernier avec
l’Albiceleste, en match amical, contre le Costa Rica. Il faisait
partie de l’équipe victorieuse de la Copa América cet été. Du côté
du stade Vélodrome, certains l’imaginent déjà comme le digne
successeur du « Commandante » Lucho Gonzalez.
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