Tennis

Djokovic en a marre d’être « le mal aimé »

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« Mal aimé, je suis le mal aimé. »
Les paroles de cette chanson de Claude François pourraient aisément
être interprétées par Novak Djokovic.

Jeudi,
Novak Djokovic a connu un important
« trou d’air, lors de son deuxième tour de Wimbledon.
Oposé au modeste Jacob Fearnley, joueur classé 277e mondial à
l’ATP, le champion serbe a perdu le troisième set et mis trois
heures pour remporter la rencontre.

« Il n’a pas hésité à montrer son énervement, son
agacement, avec son box,
fait remarquer Tatiana Golovin,
consultante pour beIN Sports. Mais j’ai envie de vous dire que
c’est peut être ce qui fait sa force. Il est perfectionniste, il
sait qu’il peut mieux jouer, qu’il doit mieux faire. C’est le
caractère du champion. Il avait de la marge. »

Djokovic, l’éternel mal aimé du public

Opposé à un joueur local, le natif de Belgrade ne pouvait pas
compter sur le soutien des spectateurs. « Je pense aussi
que pour Djokovic, cela commence à être difficile d’avoir à chaque
fois le public contre lui. Je pense qu’il aimerait avoir un peu
plus de soutien pour pouvoir se libérer »,
analyse
l’ancienne 12e joueuse mondiale à la WTA.

S’il venait à remporter Wimbledon le 14 juillet prochain, Novak
Djokovic rentrerait encore un peu plus dans l’histoire du tennis.
Avec 25 titres du Grand Chelem, il serait le détenteur absolu de
victoires en « majeurs », un record qu’il partage pour le
moment avec Margaret Court.

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