JO 2024 – Football: Henry, une défaite causée par une superstition ?
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Thierry Henry et les Bleus ont
perdu vendredi face à l’Espagne (3-5, a.p.), en finale du tournoi
de football des JO 2024. Pour Loïc Rémy, ce revers ne serait pas
uniquement dû à un facteur sportif.
C’est sans nul doute le plus beau match que le tournoi de
football masculin a proposé durant les Jeux olympiques de Paris
2024. Il aurait été grandiose si l’équipe de France ne l’avait pas
perdu. Opposés vendredi à l’Espagne en finale, les hommes de
Thierry Henry sont revenus de (presque) nulle part pour parvenir à
accrocher une prolongation
qu’ils ont finalement perdue (3-5, a.p.). Mais cette
défaite n’aurait-elle pas une cause extérieure ? Loïc Rémy a émis
l’idée.
Consultant pour France Télévisions et commentateur de
cette finale au côté de Fabien Lévêque, l’ancien international
tricolore a raconté une petite anecdote alors qu’il évoquait la
rencontre et ses à-côtés, sur le plateau de l’émission « Quels
Jeux ! ». Avec une sorte de rituel mis en place entre lui-même
et le sélectionneur des Bleus. « On a eu un petit rituel avec
Thierry qui est aussi mon idole d’enfance. En fait, avant la
première interview avec Fabien, il m’a pris dans les bras. On avait
ce rituel-là après son interview en bord terrain, qu’il me prenne
dans les bras. »
« Ça m’a un peu irrité »
Mais en ce jour de finale olympique, les choses ne se sont pas
passées comme prévu, a expliqué l’attaquant qui a joué notamment
pour l’OM et Lille : « Malheureusement ce soir, ils ne m’ont
pas autorisé l’accès au terrain. Je ne suis pas du tout
superstitieux mais voilà… Ça m’a un peu irrité on va dire. »
Un peu de superstition tout de même pour Loïc Rémy qui néanmoins
reconnu que les Bleus affrontaient les Espagnols avec déjà quelques
problèmes bien identifiés.
« Il y a l’adversaire, mais on était assez friables
défensivement, on le sentait depuis le début de la compétition. On
a eu pas mal de réussite. Sur ce match, l’Espagne a été
chirurgicale. Le moindre espace, un petit errement défensif et ils
en ont profité. […] On est bien revenus, on y a cru jusqu’au bout,
mais ça n’a pas suffit. Mais ils peuvent être fiers d’eux.
»