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le foot français plongé dans la crise

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Sa prise de parole était attendue. Elle ne passera pas
inaperçue. Pointé du doigt pour la crise des droits TV qui a touché
le football français, Vincent Labrune a brisé le silence en
accordant un entretien à L’Équipe, ce mercredi. Et son ton est très
offensif.

Le
président de la LFP ne comprend pas les
critiques dont il fait l’objet. « Ce n’est pas qu’un été
que j’ai vécu sous tension, a-t-il lâché. Cela fait plus d’un an
que le football français, la LFP et moi-même sommes l’objet
d’attaques d’une rare violence orchestrées par un groupe
d’individus avec le double objectif de saboter l’appel d’offres sur
les droits audiovisuels et de faire exploser la gouvernance. On a
coutume de dire : ‘les chiens aboient et la caravane passe’. C’est
tout à fait d’actualité
« .

Labrune défend son bilan !

Vincent Labrune a répondu de façon très véhémente à ses
détracteurs. « Il est insupportable de lire et d’entendre
de telles contre-vérités, d’avoir une telle réécriture de
l’histoire qui relève de la malhonnêteté, du mensonge et du
complotisme pur et simple. Voilà mon état d’esprit du
moment
« .

L’ancien président de l’OM l’affirme haut et fort : le bilan de
son mandat serait positif. « Avec Arnaud Rouger (le
directeur général de la LFP) et de nombreux acteurs du football, on
ne partage pas l’analyse caricaturale qui est faite de notre bilan.
Depuis notre arrivée, on fait face à une crise majeure sans
précédent dans l’histoire du football français. Le fait générateur
de cette crise a un seul nom : Mediapro, qui est la plus grande
erreur stratégique dans notre histoire et dont nous payons encore
aujourd’hui les conséquences. La réalité absolue est que le
football français aurait pu mourir il y a trois ans. Avec la crise
du Covid-19, il a été le seul grand championnat à arrêter sa saison
en mars 2020
« , a-t-il conclu. Un discours qui continuera
d’alimenter les tensions dans la période actuelle, avant les
élections.

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