Le verdict tombe, les Bleus à huis clos ?
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Alors que l’équipe de France de
Didier Deschamps doit recevoir Israël le 17 novembre prochain en
Ligue des nations, la Belgique a délocalisé la rencontre face aux
Israéliens en Hongrie (à huis clos) et la ville d’Udine refuse
d’organiser ce match de l’Italie.
Après son parcours peu brillant à l’Euro 2024 jusqu’en
demi-finales de la compétition, pour une défaite (2-1) contre le
futur vainqueur (l’Espagne), l’équipe
de France reprendra début septembre par deux chocs.
Les Bleus de Didier Deschamps recevront l’Italie, le 6 septembre au
Parc des Princes, puis la Belgique, trois jours plus tard au
Groupama Stadium, en ouverture de la Ligue des nations 2024-2025.
Israël sera le troisième adversaire de Kylian Mbappé et ses
coéquipiers. Ces derniers affronteront d’abord les Israéliens le 10
octobre à Budapest, où la sélection de l’état hébreu.
France-Israël, le cinquième match des Bleus, a été programmé le
14 novembre au Stade de France. La rencontre peut très bien
représenter un trouble à l’ordre public, en dehors du stade comme à
l’intérieur. La Belgique a déjà anticipé d’éventuels incidents pour
la venue de l’équipe israélienne et a pris une décision importante.
Les Diables rouges n’auront que deux matches « à domicile » dans ce
groupe 2 de la Ligue A, puisqu’ils « recevront » Israël en Hongrie,
le 17 novembre prochain, et ce, à huis clos.
Les Bleus dans l’attente
« Étant donné qu’en Belgique, aucune administration locale
n’a estimé possible d’organiser le match à domicile des Diables
Rouges contre Israël le vendredi 6 septembre, l’Union Royale Belge
de Football a dû chercher une solution à l’étranger », a
expliqué la RBFA dans un communiqué. La rencontre avait été
initialement programmée dans la capitale belge, au stade
Roi-Baudouin, mais les autorités bruxelloises ont estimé qu’il
était impossible ce match « à très haut risque » en raison
du conflit israélo-palestinien, qui a pris une tournure tragique en
octobre dernier.
Lors du tirage au sort de la phase de groupes de la Ligue des
nations, en février dernier à Paris, le président de la FFF
Philippe Diallo rappelait un « contexte extrêmement difficile
» et affirmait: « on sera extrêmement vigilant avec les
pouvoirs publics, pour que les conditions parfaites de ce match
puissent avoir lieu. On attend de savoir la date mais on saura
gérer ce match ». La fédé de football ne sera certainement pas
la seule à décider dans ce dossier.