Monfils fait rêver son prochain adversaire !
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Pour son dernier US Open,
l’Argentin Diego Schwartzman va commencer par affronter Gaël
Monfils. Une première opposition qui ravit le principal
intéressé.
Diego Schwartzman vient tout juste de fêter ses 32 ans et,
pourtant, dans quelques mois, l’Argentin sera officiellement à la
retraite. Son dernier tournoi sera l’ATP 250 de Buenos Aires, au
mois de février prochain. En attendant, à partir de ce lundi, du
côté de New York, le natif de Buenos Aires s’attaque à son onzième
et dernier US Open, et même peut-être à son dernier tournoi du
Grand Chelem.
Contrairement à l’Open d’Australie, Roland-Garros et Wimbledon,
celui qui est redescendu à la 247eme place mondiale est, cette
année, parvenu à sortir des qualifications lors d’un tournoi du
Grand Chelem, après avoir notamment sorti Thiago Tirante, tête de
série n°1, ou bien encore le talentueux Lituanien Vilius Gaubas (19
ans). Dans le grand tableau, son premier adversaire sera le
Français Gaël Monfils.
Schwartzman : « Gaël est l’un
des meilleurs »
Une perspective qui satisfait pleinement l’ancien numéro huit
mondial, qui a déjà atteint les quarts de finale à Flushing
Meadows, en 2017 puis en 2019, dans des propos rapportés par le
site internet spécialisé Tennis Actu : « J’espère
jouer sur un grand court. Ce sera très amusant. C’est un match que
je voulais à tout prix disputer dans un grand stade. Gaël est l’un
des meilleurs et certainement le showman que tout le monde veut
jouer. J’espère faire un grand match et profiter de chaque point
avec lui et le public. Pour moi, c’était spécial de recevoir
beaucoup de messages et de bonnes choses à mon sujet. C’est
différent de ce que j’ai ressenti ces derniers mois. Mais je pense
avoir pris la bonne décision. Je suis satisfait de ma décision
jusqu’à présent. »
Diego Schwartzman en a également profité pour revenir sur ce qui
l’a poussé à se retirer du monde du tennis professionnel :
« Je prends la décision d’arrêter. J’en suis très heureux.
Pas de blessure, rien. J’ai décidé d’arrêter parce que je suis
fatigué, parce que j’ai l’impression de ne plus pouvoir être le
compétiteur que j’étais auparavant. (…) »