Zaïre-Emery, le doute est permis
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Comptant parmi les joueurs
négligés par Didier Deschamps depuis le début de l’Euro 2024,
Warren Zaïre-Emery peut-il se rattraper cet été aux JO de
Paris ?
C’est l’un des gros perdants tricolores à l’Euro
2024. Victime comme la moitié de ses partenaires en
équipe de
France de la première phase poussive des joueurs de
Didier Deschamps, Warren Zaïre-Emery n’a même pas pu compter sur le
troisième acte des poules – généralement dédié aux seconds couteaux
– pour s’exprimer un peu sur le terrain.
Face à la presse à l’approche des huitièmes de finale et de
cette affiche franco-belge inattendue à ce stade de la compétition,
Ibrahima Konaté et Eduardo Camavinga ont pu faire part de leur
frustration – un sentiment très certainement partagé par le crack
du PSG. Un prodige qui a su convaincre le sélectionneur des A à
l’automne dernier mais qui aura sans doute bien du mal à trouver du
temps de jeu dans son tout premier tournoi majeur.
Le malheur de Deschamps ferait le bonheur de Henry
En décalant ses épreuves de bachelier à la rentrée de septembre,
Warren Zaïre-Emery, il y a quelques semaines avait préparé son
double rendez-vous présumé avec l’Euro et les JO. Certes convoqué
le 3 juin par Thierry Henry pour participer à Paris 2024 dans la
foulée du Championnat d’Europe, le jeune milieu de 18 ans pourtant
s’est heurté à l’inflexibilité de son club. Un PSG qui, comme pour
Bradley Barcola, juge trop lourd pareil enchaînement estival.
Oui mais voilà, Le Parisien ce samedi soulève un cas de figure
qui pourrait potentiellement changer la donne. Si les Bleus
malheureusement venaient à subi la loi des Diables rouges ce lundi,
alors Thierry Henry, qui doit rendre sa liste olympique définitive
le mercredi 3 juillet, pourrait revenir à la charge auprès du club
de la capitale en faisant valoir l’état de fraîcheur intact du
garçon au sortir de l’Euro. « Il faudrait pour cela que
Zaïre-Emery, qui n’a jamais caché publiquement ses envies de JO, se
positionne de nouveau clairement », souligne la publication
suscitée. Sait-on jamais…